Promotion 2012
Hatice ULAS
J’ai une histoire assez particulière, je suis arrivée à l’âge de 14 ans en France sans savoir dire un mot en français.
J’ai obtenu un bac STG puis un BTS Commerce International en 2012.
Mes deux années de BTS étaient les meilleures, j’ai eu l’occasion de connaître des gens géniaux.
Je conseille à tous les futurs étudiants ce BTS car j’ai appris beaucoup de choses, c’est un BTS très enrichissant.
Après le BTS, j’ai fait une licence “Commerce international commerce de gros commerce inter-entreprises” à l’IUT Charlemagne à Nancy.
Pendant mes études, j’ai effectué plusieurs stages à l’étranger et pu rencontrer beaucoup de personnes qui m’ont beaucoup aidée dans ce parcours.
Je suis passionnée par les containers, un de mes rêves c’est de construire une maison en portes containers même si pour certaines personnes c’est irréalisable, mais moi j’y crois.
En 2014, j’ai suivi mes rêves, j’ai déménagée à Strasbourg pour mon premier emploi dans une grande entreprise de Transport Geodis qui fait partie de la SNCF. J’occupais un poste d’agent d’exploitation, c’est à dire que je pilotais un planning de conducteurs étrangers à travers toute l’Europe et les pays de l’Est.
Après deux ans de belles rencontres et de belles aventures, pour des raisons personnelles, j’ai dû quitter mon emploi de Strasbourg et demander une mutation dans le même groupe, à Florange, au tant qu’affréteur. Ma demande a été acceptée par le groupe et j’occupe ce poste depuis juillet 2016.
Pendant mes études c’était un grand rêve pour moi de pouvoir travailler dans le maritime et aujourd’hui je me retrouve dans le transport routier et dans une des grandes entreprises françaises de France et d’Europe.
Pour arriver aujourd’hui à ce niveau, j’ai dû relever beaucoup de défis : apprendre la langue, m’adapter au pays, faire des études et bien sûr trouver un travail qui me convient.
A ce jour, je m’épanouis beaucoup dans mon travail et je suis très satisfaite de mon entreprise.
Je suis passionnée par les containers : ” la saveur de la vie n’est que pour les fous”.
Témoignage obtenu en février 2017